ArĂšs dieu grec de la guerre. ArĂšs Ă©tait un dieu olympien de la guerre, de la violence et de la destruction. Il nâa pas Ă©tĂ© accueilli Ă la fois par les dieux et les mortels dans la mythologie grecque, ni par les anciens Grecs eux-mĂȘmes, Ă quelques exceptions prĂšs comme les Spartiates et les Amazones. Il est souvent comparĂ© Ă sa
La civilisation maya La cosmologie et la religion Les Mayas croyaient en la rĂ©currence des cycles de la crĂ©ation et de la destruction et pour eux les Ăšres duraient, d'aprĂšs notre systĂšme moderne de computation du temps, quelque 5200 ans. Le cycle actuel aurait commencĂ© en 3113 ou 3114 av. de notre calendrier et devrait prendre fin en l'an 2011 ou 2012. Il n'est pas facile, d'aprĂšs la connaissance que nous avons aujourd'hui de la civilisation maya, d'interprĂ©ter leur cosmologie. Il semble Ă©vident, toutefois, que les Mayas voyaient la Terre comme une forme plate et carrĂ©e. Chacun de ses quatre angles Ă©tait situĂ© Ă un point cardinal et Ă©tait reprĂ©sentĂ© par une couleur le rouge Ă l'est, le blanc au nord, le noir Ă l'ouest et le jaune au sud. Le centre Ă©tait vert. Certains Mayas croyaient aussi que le ciel Ă©tait stratifiĂ© et que chacun de ses quatre angles Ă©tait soutenu par une divinitĂ© d'une musculature impressionnante appelĂ©e Bacab». Pour d'autres, le ciel Ă©tait soutenu par quatre arbres de couleurs et d'espĂšces diffĂ©rentes, et le ceiba vert, ou liard, se dressait au centre. Pour les Mayas, la forme aplatie de la Terre reprĂ©sentait le dos d'un crocodile gĂ©ant reposant dans un bassin rempli de nĂ©nuphars. Dans le ciel, le pendant du crocodile Ă©tait un serpent bicĂ©phale, une notion sans doute attribuable au fait que le vocable maya dĂ©signant le ciel ressemble au mot serpent. En caractĂšres hiĂ©roglyphiques, le corps du serpent-ciel est reprĂ©sentĂ© non seulement par son propre signe - barres croisĂ©es - mais aussi par ceux du Soleil, de la Lune, de VĂ©nus et d'autres corps cĂ©lestes. L'image du visage humain Ă©mergeant des mĂąchoires du serpent est un thĂšme frĂ©quent dans l'art maya. Par contre, dans ce cas, la sculpture du serpent couvert de plumes est une addition subsĂ©quente toltĂšque au dessin gĂ©omĂ©trique de la mosaĂŻque maya. L'image est un Ă©lĂ©ment d'une frise compliquĂ©e qui se trouve sur la façade occidentale du Couvent», Ă Uxmal. Le ciel Ă©tait composĂ© de 13 strates, chacune ayant sa propre divinitĂ©. Au niveau le plus Ă©levĂ© se trouvait l'oiseau muan, une sorte d'effraie. Le monde souterrain comportait neuf strates sur lesquelles rĂ©gnaient neuf seigneurs de la Nuit. Le monde souterrain Ă©tait un endroit froid et inhospitalier auquel Ă©taient destinĂ©s la plupart des Mayas aprĂšs leur mort. Cet univers souterrain accueillait aussi chaque soir les corps cĂ©lestes comme le Soleil, la Lune et VĂ©nus, une fois franchi le seuil de l'horizon. On en sait trĂšs peu sur le panthĂ©on maya. Il renfermait un nombre incalculable de divinitĂ©s dont au moins 166 portent un nom. Cette prolifĂ©ration s'explique en partie par le fait que chacune des divinitĂ©s se prĂ©sentait sous des aspects multiples. Certaines avaient plus d'un sexe, d'autres pouvaient ĂȘtre Ă la fois jeunes et ĂągĂ©es. Chaque dieu reprĂ©sentant un corps cĂ©leste possĂ©dait dans le monde souterrain un visage diffĂ©rent qui se rĂ©vĂ©lait chaque soir Ă sa mort». Glyphe de Palenque qui reprĂ©sente une divinitĂ© maya. Certaines sources mayas font aussi Ă©tat d'un dieu suprĂȘme unique, appelĂ© ItzamnĂĄ, auteur de l'Ă©criture et mĂ©cĂšne des arts et des sciences. Son Ă©pouse, Ix Chel, Ă©tait la dĂ©esse du tissage, de la mĂ©decine et de l'enfantement et l'ancienne dĂ©esse de la Lune. Les prĂȘtres mayas n'Ă©taient pas cĂ©libataires et il arrivait souvent que leurs fils leur succĂšdent. Le rĂŽle des prĂȘtres Ă©tait Ă©troitement liĂ© au calendrier et Ă l'astronomie. Ils contrĂŽlaient l'apprentissage et les rituels et ils Ă©taient responsables de la computation du temps, des festivals, des cĂ©rĂ©monies, des jours et des saisons fatidiques, de la divination, des Ă©vĂ©nements, du traitement des maladies, de l'Ă©criture et des gĂ©nĂ©alogies. Tous les rituels mayas Ă©taient dictĂ©s par le calendrier du cycle sacrĂ©, de 260 jours et toutes les dĂ©monstrations avaient une signification symbolique. L'abstinence sexuelle Ă©tait rigoureusement observĂ©e avant et durant ces Ă©vĂ©nements et l'automutilation Ă©tait couramment pratiquĂ©e pour fournir le sang avec lequel on bĂ©nissait, par l'onction, les articles religieux. L'Ă©lite Ă©tait obsĂ©dĂ©e par le sang - le sien et celui des prisonniers - et le rite de la saignĂ©e constituait un important aspect de tout grand Ă©vĂ©nement du calendrier maya. La saignĂ©e servait aussi Ă se concilier les dieux et au dĂ©but du dĂ©clin de la civilisation maya, les chefs qui possĂ©daient de vastes territoires couraient, disait-on, d'une ville Ă l'autre pratiquer ce rite pour sauver leur royaume en voie de perdition. Pour les Mayas, le sacrifice sanglant Ă©tait nĂ©cessaire Ă la survie tant des dieux que des humains, faisant monter l'Ă©nergie humaine vers le ciel et recevant en retour le pouvoir divin. Le roi se servait d'un couteau d'obsidienne ou d'un aiguillon de pastenague pour s'entailler le pĂ©nis, dont il laisser couler le sang sur du papier contenu dans un bol. Les Ă©pouses des rois prenaient aussi part Ă ce rite en tirant une corde hĂ©rissĂ©e d'Ă©pines Ă travers leur langue. On faisait brĂ»ler le papier tachĂ© de sang, et la fumĂ©e qui s'en Ă©levait Ă©tablissait une communication directe avec le Monde cĂ©leste. La coutume voulait que les prisonniers, les esclaves, surtout les enfants et notamment les orphelins et les enfants illĂ©gitimes que l'on achetait spĂ©cialement pour l'occasion, soient offerts en sacrifice. Avant l'Ăšre des ToltĂšques, on sacrifiait plutĂŽt les animaux que les humains - dindons, chiens, Ă©cureuils, cailles et iguanes Ă©tant les espĂšces jugĂ©es dignes d'ĂȘtre offertes aux dieux mayas. Le chaman se prĂ©pare Ă cĂ©lĂ©brer la cĂ©rĂ©monie cha-chac, qui supplie le dieu Chac de fournir la pluie. Les prĂȘtres recevaient, pour effectuer les sacrifices humains, l'aide de quatre hommes ĂągĂ©s appelĂ©s chacs, en l'honneur du Dieu de la Pluie du mĂȘme nom. Ces hommes tenaient les bras et les jambes de la victime offerte en sacrifice tandis qu'un autre officiant nommĂ© Nacom lui ouvrait la poitrine. Un chaman nommĂ© Chilam assistait aussi Ă la cĂ©rĂ©monie et recevait, pendant qu'il Ă©tait en transe, des messages des dieux dont les prophĂ©ties Ă©taient interprĂ©tĂ©es par l'assemblĂ©e des prĂȘtres. Ă gauche Les spectacles publics de danse et de théùtre rituels, oĂč les rois et les nobles Ă©taient transformĂ©s en dieux en entrant dans une transe visionnaire, Ă©taient d'autres moyens de communication avec le monde des esprits. PonctuĂ©s de chants, de musique instrumentale, couverts par les cris et les railleries des milliers de personnes venues y assister, ces rites rĂ©affirmaient le pouvoir du roi d'ĂȘtre le rĂ©ceptacle de pouvoirs surnaturels au profit de son peuple. Ă droite Cette petite figurine reprĂ©sente un joueur de balle. Le jeu de balle symbolise le combat Ă mort qui eut lieu au cours de la troisiĂšme crĂ©ation. Le sol du terrain reprĂ©sente la plate-forme terrestre, qui sĂ©pare le monde humain du Monde infĂ©rieur. C'Ă©taient les dieux qui dĂ©terminaient les vainqueurs du jeu de balle, tout comme ils dĂ©cidaient qui serait victorieux Ă la guerre. Photo fournie par l'Instituto nacional de antropologiĂĄ e historia Les Mayas croyaient que lorsqu'on mourait, on pĂ©nĂštrait dans le Monde infĂ©rieur par une grotte ou un cenote. Lorsque les rois mouraient, ils empruntaient le chemin liĂ© au mouvement cosmique du soleil et tombaient dans le Monde infĂ©rieur, mais parce qu'ils possĂ©daient des pouvoirs surnaturels il renaissaient dans le Monde cĂ©leste et devenaient des dieux. Mourir de mort naturelle faisait trembler les Mayas, surtout en raison du fait que les morts n'allaient pas automatiquement au paradis. Les gens ordinaires Ă©taient enterrĂ©s sous le plancher de leur maison, leur bouche remplie de nourriture et d'une perle de jade, et ils Ă©taient entourĂ©s des objets et des articles religieux qu'ils avaient utilisĂ©s durant leur vie. Les tombeaux des prĂȘtres renfermaient des livres. Les gens de la haute noblesse Ă©taient incinĂ©rĂ©s - une pratique d'origine mexicaine - et leur temple funĂ©raire Ă©tait Ă©rigĂ© au-dessus de leur urne. Dans les premiers temps, les nobles Ă©taient enterrĂ©s dans des sĂ©pulcres sous des mausolĂ©es. Certains Mayas momifiaient mĂȘme la tĂȘte des seigneurs dĂ©cĂ©dĂ©s. Celles-ci Ă©taient dĂ©posĂ©es dans des oratoires familiaux et nourries» Ă intervalles rĂ©guliers. AprĂšs la conquĂȘte espagnole, les systĂšmes de croyance maya et catholique ont commencĂ© Ă se confondre. Selon certains archĂ©ologues, les deux systĂšmes accusaient de nombreuses ressemblances dans les deux cas, on brĂ»lait de l'encens durant les cĂ©rĂ©monies rituelles, on pratiquait l'iconolĂątrie, il y avait des prĂȘtres et on organisait de longs pĂšlerinages aux jours dĂ©signĂ©s du calendrier rituel. Deux encensoirs en cĂ©ramique utilisĂ©s aux cĂ©rĂ©monies religieuses. Celui Ă gauche reprĂ©sente le dieu Chac, qui tient un cĆur humain Ă la main gauche et un gobelet Ă boire Ă la main droite. Photos fournies par l'Instituto nacional de antropologiĂĄ e historia La plupart des Mayas observent de nos jours une religion entremĂȘlĂ©e d'anciennes notions mayas, d'animisme et de catholicisme. Certains croient toujours, par exemple, que leur village est le centre cĂ©rĂ©moniel d'un univers soutenu aux quatre coins par des dieux. Lorsque l'un de ces dieux dĂ©place son fardeau, il se produit un tremblement de terre. La voĂ»te cĂ©leste est le domaine du Soleil, de la Lune et des Ă©toiles; toutefois, le Soleil est clairement associĂ© avec Dieu le PĂšre ou JĂ©sus-Christ tandis que la Lune est associĂ©e Ă la Vierge Marie. Bien des Mayas sont convaincus que leurs montagnes sont Ă l'image des anciens temples-pyramides. Les montagnes et les collines sont Ă©galement perçues comme les demeures des divinitĂ©s ancestrales des figures paternelles et maternelles que l'on honore dans leur demeure de priĂšres et Ă qui l'on offre de l'encens, des poules noires, des cierges et des spiritueux. Beaucoup de villages mayas voient encore de nos jours des chamans prier pour l'Ăąme des malades aux lieux de pĂšlerinage en montagne. Les Mayas croient aussi en un Seigneur de la Terre - un mĂ©tis gras et vorace habitant dans des cavernes et des cenotes, qui contrĂŽle tous les points d'eau et Ă qui l'on doit les Ă©clairs et la pluie. On croit aussi aux forces surnaturelles des esprits de la forĂȘt. Aux quatre entrĂ©es de certains villages actuels, sont placĂ©s quatre paires de croix et quatre esprits de jaguar, appelĂ©s balam, qui ont pour fonction de chasser les dĂ©mons. On invoque encore les divinitĂ©s de la forĂȘt dans les rites agricoles et l'on croit toujours que des vents mauvais, qui circulent librement dans le monde, sont cause de maladies et de souffrances tout comme les aluxob, ces nains Ă l'allure de lutins, qui sont porteurs de malchance.
Par un aprĂšs-midi chaud, les cigales stridulaient sans cesse parmi les arbres. BrĂ»lĂ©s par la chaleur, les arbres et les fleurs au bord de la route languissaient. Dans un bloc rĂ©sidentiel, Wang Na sâefforçait de rester Ă©veillĂ©e et poursuivait en disant La Bible dĂ©clare âEnsuite, nous les vivants, qui serons restĂ©s, nous serons tous ensemble enlevĂ©s avec eux sur des nuĂ©es, Ă la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneurâ 1 Thessaloniciens 417. Ă partir de lâĂ©tat des frĂšres et sĆurs de lâĂ©glise, et de la situation mondiale, nous pouvons constater que les derniers jours sont arrivĂ©s. Essentiellement, les prophĂ©ties du retour du Seigneur se sont accomplies. Par consĂ©quent, le Seigneur devrait revenir bientĂŽt pour nous amener dans le royaume des cieux. Ă ce moment-lĂ , nous iront tous Ă la rencontre du Seigneur dans les airs. Nous devrions avoir foi en la promesse du Seigneur. » Ă ses mots, les collaborateurs se regardĂšrent les uns les autres, impuissants. Puis certains dâentre eux baissĂšrent la tĂȘte et feuilletĂšrent la Bible dâun air absent, certains secouĂšrent lĂ©gĂšrement la tĂȘte et poussĂšrent un petit soupir, et dâautres encore se chuchotĂšrent. En dĂ©pit de ce que vous avez dit, dit SĆur Li dâun air ahuri, maintenant, les frĂšres et sĆurs deviennent tous passifs et faibles parce que nous prenons beaucoup de temps pour accueillir le retour du Seigneur. Les catastrophes vont de mal en pis partout et les quatre lunes de sang sont dĂ©jĂ apparues, mais Ă ce moment critique, nous ne sommes toujours pas encore enlevĂ©s. Comment pouvons-nous ne pas ĂȘtre faibles et anxieux ? » FrĂšre Zhang hocha la tĂȘte et reprit le fil de la conversation HĂ©las ! Je suis dâaccord. La catastrophe arrive, mais nous ne sommes pas enlevĂ©s. Alors quel est le problĂšme ? Bien. SĆur Song, vous avez Ă©tĂ© Ă dâautres endroits et vous venez rarement Ă notre rĂ©union de collaborateurs. Que pensez-vous de cela ? » Song Jiayin regarda tout le monde et dit en toute sincĂ©ritĂ© Gloire au Seigneur ! JâĂ©tais souvent dans la mĂȘme confusion Le Seigneur JĂ©sus a une fois dit âLe ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront pointâ Matthieu 2435. Aujourdâhui, les prophĂ©ties du retour du Seigneur se sont fondamentalement accomplies. Plusieurs frĂšres et sĆurs dans le Seigneur prĂȘchent que le Seigneur est revenu. Puisque le Seigneur est revenu, pourquoi ne sommes-nous pas encore enlevĂ©s ? Avec ce doute, Ă©pris dâanxiĂ©tĂ©, jâai cherchĂ© ça et lĂ et jâai fini par comprendre quelle en Ă©tait la raison. En fin de compte, âĂȘtre enlevĂ© â nâest pas ce que nous pensons ĂȘtre Ă©levĂ© dans les airs. » DĂšs quâelle eut fini de parler, un dĂ©bat houleux commença immĂ©diatement dans la salle endormie. Toutes les autres personnes commencĂšrent Ă parler. Wang Na tourna les yeux vers Song Jiayin et dit de maniĂšre solennelle Jiayin, nous qui croyons au Seigneur, nous devrions agir selon la Bible. Le fait que nous serons Ă©levĂ©s dans les airs pour rencontrer le Seigneur a son fondement dans la Bible. Puisque vous dites quâĂȘtre enlevĂ© ne signifie pas ĂȘtre Ă©levĂ© dans les airs, y a-t-il donc un fondement biblique Ă cela ? Tout le monde dirigea le regard vers Song Jiayin; Elle les regarda et dit en souriant Cette idĂ©e quâĂȘtre enlevĂ© signifie ĂȘtre Ă©levĂ© de la terre au ciel, est-elle vraiment la volontĂ© de Dieu ? » Ă prĂ©sent, faisons une Ă©tude des Ăcritures. Il est prophĂ©tisĂ© dans lâApocalypse 212-3 âEt je vis descendre du ciel, dâauprĂšs de Dieu, la ville sainte, la nouvelle JĂ©rusalem, prĂ©parĂ©e comme une Ă©pouse qui sâest parĂ©e pour son Ă©poux. Et jâentendis du trĂŽne une forte voix qui disait Voici le tabernacle de Dieu avec les hommes ! Il habitera avec eux, et ils seront son peuple, et Dieu lui-mĂȘme sera avec eux.â Apocalypse 1115 aussi disent âLe septiĂšme ange sonna de la trompette. Et il y eut dans le ciel de fortes voix qui disaient Le royaume du monde est remis Ă notre Seigneur et Ă son Christ ; et il rĂ©gnera aux siĂšcles des siĂšcles.â Ă partir de ces prĂ©dictions, nous pouvons constater, Ă©tant donnĂ© que dans les paroles â[âŠ] descendre du ciel, [âŠ] la ville sainte, la nouvelle JĂ©rusalemâ, il est dit que la nouvelle JĂ©rusalem âdescendre du cielâ, et elle viendra sĂ»rement sur la terre. Nous savons tous que â la nouvelle JĂ©rusalemâ signifie le royaume de Dieu. Cela veut dire que que Dieu Ă©tablira Son royaume sur la terre. Les paroles âle tabernacle de Dieu avec les hommesâ, âIl habitera avec euxâ, et âLe royaume du monde est remis Ă notre Seigneurâ dans les prophĂ©ties sont Ă©galement la preuve que nous finirons par vivre sur la terre. Et le royaume de Dieu descendra sur la terre plutĂŽt que dâĂȘtre au paradis. Si parvenir Ă lâenlĂšvement signifie ĂȘtre Ă©levĂ© au ciel comme nous le pensons, alors notre dĂ©sir dâentrer dans le royaume des cieux ne sera-t-il pas vain ? Et comment ces prophĂ©ties de lâApocalypse se rĂ©aliseront-elles ? » Le frĂšre Zhang dit ce quâil pensait â[âŠ] descendre du ciel, [âŠ] la ville sainte, la nouvelle JĂ©rusalemâ et âle tabernacle de Dieu avec les hommesâ, toutes ces Ă©critures impliquent que le royaume de Dieu viendra sur la terre. Les paroles de Dieu sont si clairement exprimĂ©es, comment se fait-il que nous nâen ayons rien tirĂ© auparavant ? De toute Ă©vidence, Dieu viendra sur la terre pour Ă©tablir son royaume, et pourtant nous insistons Ă ĂȘtre enlevĂ© dans le ciel. Cela va Ă lâencontre des paroles du Seigneur. » Song Jiayin poursuivit Câest vrai ! Depuis que Dieu a créé lâhomme, il accomplit toujours son Ćuvre sur la terre. Du dĂ©but Ă la fin, lâintention de Dieu est que nous vivions sur la terre plutĂŽt que dans le ciel. Il est clairement Ă©crit dans la Bible que les ancĂȘtres de lâhumanitĂ©, Adam et Ăve, vivaient Ă lâorigine dans le jardin dâĂden sur la terre. AprĂšs avoir commis le pĂ©chĂ©, ils ont Ă©tĂ© chassĂ©s du jardin dâĂden. Toutefois, ils vivaient toujours sur la terre. Ceci Ă©tant, lâĆuvre de Dieu pour le salut de lâhumanitĂ© est aussi, bien sĂ»r, rĂ©alisĂ© sur terre. Par exemple, Ă lâĂšre de la Loi, Dieu a dictĂ© des lois et des commandements pour guider la vie de lâhumanitĂ© sur la terre; Ă lâĂšre de la GrĂące, le Seigneur JĂ©sus sâest fait chair et a accompli lâĆuvre de la rĂ©demption de toute lâhumanitĂ©, nous permettant de rĂ©aliser Sa volontĂ© et de suivre ses enseignements sur la terre. Toute cette Ćuvre a Ă©tĂ© faite sur la terre. Dâailleurs, dans Apocalypse et dans dâautres prophĂ©ties, il est dit que la future destination merveilleuse que Dieu a prĂ©parĂ©e pour ceux de la race humaine restante sera toujours sur la terre. » SĆur Yu dĂ©posa avec prĂ©cipitation la tasse quâelle tenait dans sa main et dit avec Ă©motion En effet. Câest comme ça. Par le passĂ©, je me demandais comment nous pouvions ĂȘtre Ă©levĂ©s dans les airs alors que nous Ă©tions des ĂȘtres mortels avec des corps lourds. Aujourdâhui, aprĂšs cet Ă©change, je sens que jâai Ă©tĂ© beaucoup plus Ă©clairĂ©e Ă lâintĂ©rieur de moi. » A lâĂ©coute de ce que les frĂšres les sĆurs avaient dit, Wang Na fronça les sourcils. Elle ne pouvait sâempĂȘcher de penser Ă la communication de Song Jiayin. Jiayin, dit Wang Na, tout ce que vous avez dit est logique, mais la Bible rapporte trĂšs clairement quâHĂ©noc et Ălie ont Ă©tĂ© enlevĂ©s au ciel. Comment cela peut-il sâexpliquer ? » Regardant Wang Na en face, Son Jiayin dĂ©clara en toute honnĂȘtetĂ© Ă propos de cette question, Actes 839-40 disent âQuand ils furent sortis de lâeau, lâEsprit du Seigneur enleva Philippe, et lâeunuque ne le vit plus. Tandis que, joyeux, il poursuivait sa route, Philippe se trouva dans Azot, dâoĂč il alla jusquâĂ CĂ©sarĂ©e, en Ă©vangĂ©lisant toutes les villes par lesquelles il passait.â Ces versets disent clairement que Philippe avait Ă©tĂ© enlevĂ© par lâEsprit du Seigneur. Selon notre approche, il a certainement Ă©tĂ© enlevĂ© au ciel par le Seigneur. Mais en fait, comme le dit le verset âPhilippe se trouva dans Azot,â et il prĂȘcha lâĂ©vangile dans toutes les villes, accomplissant la volontĂ© de Dieu sur la terre. Ă partir de cela, nous pouvons constater que notre conviction selon laquelle âĂȘtre enlevĂ©â signifie ĂȘtre conduit dâun endroit bas Ă un endroit Ă©levĂ©, ou ĂȘtre Ă©levĂ© de la terre au ciel, est une notion qui est notre, et qui nâa aucun fondement dans la vĂ©ritĂ©. Le Seigneur JĂ©sus a dit âPersonne nâest montĂ© au ciel, si ce nâest celui qui est descendu du ciel, le Fils de lâhomme qui est dans le cielâ Jean 313. Le Seigneur JĂ©sus est la seule porte dâaccĂšs au royaume des cieux. Ainsi, dans notre profession de foi, nous devons utiliser les paroles du Seigneur comme Ă©tant la norme. Si selon notre comprĂ©hension, HĂ©noch et Ălie ont Ă©tĂ© enlevĂ©s au ciel, comment donc expliquons-nous la parole du Seigneur JĂ©sus ? Quâest ce qui est correct, notre notion ou les paroles du Seigneur ? » Lâobjectif que Wang Na poursuivait depuis de nombreuses annĂ©es commença Ă vaciller dans son cĆur. Elle se demandait constamment Le point de vue que jâai eu sur la rĂ©alisation de lâenlĂšvement depuis toutes ces annĂ©es est-il vraiment erronĂ© ? AprĂšs une bataille acharnĂ©e Ă lâintĂ©rieur, elle demanda Ă Song Jiayin Jiayin, si notre comprĂ©hension de lâenlĂšvement depuis tant dâannĂ©es est erronĂ©e, alors pouvez-vous nous dire quelle est sa vraie signification ? » Song Jiayin sortit un carnet de son sac Ă la hĂąte et dit Je ne peux pas lâexpliquer clairement. Cependant, jâai recopiĂ© un passage des paroles, qui lâexplique trĂšs clairement. Permettez que je vous le lise. âĂtre enlevĂ©â ne signifie pas ĂȘtre transportĂ© dâen bas en haut comme les gens lâimaginent. Câest une Ă©norme erreur. Ătre enlevĂ© fait rĂ©fĂ©rence Ă Ma prĂ©destination et Ă Ma sĂ©lection. Cela vise tous ceux que Jâai prĂ©ordonnĂ©s et choisis. Ceux qui ont acquis le statut de fils premier-nĂ©, le statut de fils ou de peuple sont tous ceux qui ont Ă©tĂ© enlevĂ©s. Câest tout Ă fait incompatible avec les notions des gens. Ceux qui auront une part dans Ma maison dans lâavenir sont tous des gens qui ont Ă©tĂ© enlevĂ©s devant Moi. Câest absolument vrai, cela ne change jamais et ne peut ĂȘtre rĂ©futĂ© par personne. Câest la contre-attaque envers Satan. Tous ceux que Jâai prĂ©destinĂ©s seront enlevĂ©s devant Moiâ Extrait de DĂ©clarations de Christ au commencement ». âĂtre enlevĂ©â ne signifie pas, comme nous le pensons, que nous serons Ă©levĂ©s dans les airs lorsque le Seigneur reviendra, mais cela signifie que nous pouvons suivre les traces de lâAgneau, accepter la nouvelle Ćuvre de Dieu et se rassembler devant Son trĂŽne. Ceci est semblable Ă la fin de lâĂre de la Loi, lorsque le Seigneur JĂ©sus est venu accomplir son Ćuvre, ceux qui ont reconnu la voix de Dieu Ă partir des paroles du Seigneur JĂ©sus et ont acceptĂ© Son salut ont Ă©tĂ© enlevĂ©s. Ils ont surtout Ă©tĂ© enlevĂ©s parce quâils ont pu entendre la voix de Dieu. De mĂȘme, la Bible prophĂ©tise âAu milieu de la nuit, on cria Voici lâĂ©poux, allez Ă sa rencontre !â Matthieu 256. âVoici, je me tiens Ă la porte, et je frappe. Si quelquâun entend ma voix et ouvre la porte, jâentrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moiâ Apocalypse 320. Donc, aujourdâhui, au cours des derniers jours, lorsque le Seigneur reviendra et prononcera ses paroles, si nous pouvons, comme les vierges sages, chercher activement Ses pas, reconnaĂźtre Sa voix et accepter Sa venue, nous pourrons suivre Ses pas. Alors, nous serons vraiment enlevĂ©s. » SĆur Li dit avec air joyeux Donc, le vĂ©ritable enlĂšvement implique que nous suivions les pas de lâAgneau et que nous acceptions la nouvelle Ćuvre de Dieu. Maintenant, je comprends enfin ». FrĂšre Zhang dit dâun air pensif Ouais. Jâai vraiment beaucoup gagnĂ© aujourdâhui. Si nous suivons notre imagination, alors peu importe le nombre dâannĂ©es dâattente, nous ne gagnerons rien. Il y a bien longtemps, le Seigneur JĂ©sus a dit âQuand le consolateur sera venu, lâEsprit de vĂ©ritĂ©, il vous conduira dans toute la vĂ©ritĂ©â Jean 1613. Lorsque le Seigneur reviendra, il prononcera dâautres paroles et exprimera la vĂ©ritĂ©. Aussi longtemps que nous pouvons nous concentrer pour entendre Sa voix, reconnaĂźtre la voix de âlâĂpouxâ et accepter Sa nouvelle Ćuvre, nous serons alors Ă©levĂ©s devant Son trĂŽne. Maintenant, nous avons enfin un moyen de parvenir Ă lâenlĂšvement. » Song Jiayin et les collaborateurs esquissĂšrent tous un sourire. Auteur Wu Meng. 152 24 82 308 448 188 5 483