Mémoiresde la Société Polymathique du Morbihan, t.CXXXVIII, 2012, 554p., illustré. La Société Polymathique du Morbihan vient de publier son volume de l’année 2012. Les 18 articles s’organisent en trois grandes rubriques. La première concerne l’archéologie. Jean-Marie Couderc propose une synthèse sur la géographie et l’archéologie des cupules.
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JeanLouis Debauve, « Notes sur quelques libraires, relieurs, papetiers et graveurs vannetais », Bulletin de la Société polymathique du Morbihan, 1953, p. 17‑22. Jean-Louis Debauve, « Documents nouveaux sur l’histoire de l’imprimerie à Vannes », Bulletin de la Société polymathique du Morbihan, 1951, p. 101‑119.
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Retour à la liste des sanctuaires IDENTITÉ Nom du pèlerinage Saint-Pol Période d'activité ? - 2019 Commune Saint-Pol-de-Léon Département Finistère SITUATION GÉOGRAPHIQUE Commune Saint-Pol-de-Léon Hameau/Lieu-dit Diocèse Actuel Quimper-Léon 1791 - 2022 Ancien Saint-Pol-de-Léon VIe siècle - 1791 Paroisse Actuelle Saint-Paul-Aurélien-du-Haut-Léon VIe siècle - 2022 Ancienne Compléments En 1791, la cathédrale de Saint-Pol perdit son rang de cathédrale, et passa sous le contrôle du siège de Quimper, siège épiscopal du nouveau diocèse du Finistère aujourd’hui dit de Quimper et Léon ». Depuis 1996, l’ancienne cathédrale est le chef-lieu de la paroisse Saint-Paul Aurélien du Haut-Léon, qui regroupe dix-neuf paroisses originellement indépendantes. Site Type de site Côte maritime Altitude 39 m Paysage Type de couvert végétal Type de l'habitat Ville Type de proximités AbbayeAxe de circulationChâteauCours d'eau Compléments Saint-Pol se trouve à la pointe nord-est du Haut-Léon, en Bretagne bretonnante. La cité s’est développée sur une colline à environ mille mètres du littoral. Malgré sa proximité directe avec la mer, la ville ne possède pas de véritable port, cette zone de la baie de Morlaix étant totalement à sec à marée basse. Le port le plus proche est Roscoff, à quatre kilomètres au nord. La ville est délimitée par les rivières du Penzé et de l’Horn. Elle constitue un carrefour secondaire entre Roscoff, Morlaix, Lesneven et Landivisiau. Les Vies de saint Malo et saint Pol IXe s. laissent penser que saint Pol a fondé son monastère sur un site fortifié, les termes d’oppidum et de castellum revenant à plusieurs reprises. LE SANCTUAIRE Noms du sanctuaire / pèlerinage Saint-Pol ? - 2019 Compléments En latin, le nom de saint Pol-Aurélien s’écrit invariablement avec -au Paulus Aurelianus, cependant, la variante Pol s’est peu à peu imposée, devenant le nom officiel de la commune de Saint-Pol-de-Léon. Concernant le saint lui-même, les deux orthographes sont utilisées à peu près à la même fréquence, mais l’ancienne cathédrale est officiellement dédiée à saint Paul-Aurélien. Type de lieu de culte Cathédrale Nom du lieu de culte Saint-Pol-Aurélien Saints patrons Pol-Aurélien ? - 2022 Compléments Selon la tradition, le diocèse de Léon fut fondé par saint Pol à la fin du VIe siècle. L’établissement primitif, comme dans bien des cas, avait un statut hybride entre le monastère et l’évêché. La cathédrale fut reconstruite à l’époque romane, puis fut incendiée par les troupes anglaises en 1170. L’édifice actuel date essentiellement des XIIIe-XVIe siècles. En 1791, l’église Saint-Pol-Aurélien perdit son statut de cathédrale et devint paroissiale, le diocèse de Léon étant entièrement absorbé par celui de Quimper. Cet état de fait fut confirmé par le Concordat en 1802. Depuis 1996, l’ancienne cathédrale est le chef-lieu de la paroisse Saint-Paul Aurélien du Haut-Léon, qui regroupe dix-neuf paroisses originellement indépendantes. L'OBJET DE DÉVOTION Nom de l'objet Reliques de saint Pol Nature de l'objet Relique = fragment Matériau de l'objet Vestige corporel Dimensions de l'objet Emplacement Ancienne Cathédrale Saint-Paul-Aurélien Datation de l'objet ? Compléments Selon Yves-Pascal Castel 1997, un bras-reliquaire en argent fut fabriqué en 1628 pour une relique de saint Pol a priori un os du bras. Les inventaires révolutionnaires 1790 mentionnent deux bras-reliquaires en argent doré et deux autres reliquaires. En 1793, le recteur Demay mit en sûreté toutes les reliques de la cathédrale dans deux caisses en fer-blanc accompagnées d’un procès-verbal de sa main. Outre des reliques de saint Hervé, saint Laurent, une épine de la Couronne du Christ et un fragment de la Vraie-Croix, il mentionna deux os du bras, le chef et une phalange de saint Paul-Aurélien. Toutes ces reliques furent authentifiées en 1809. Les reliques de saint Pol furent d’abord placées dans un reliquaire d’ébène 1839, puis un nouveau reliquaire en bronze doré en forme d’église fut fabriqué en 1897. Il accueille un radius et le chef de saint Paul. La phalange se trouve dans une main-reliquaire fabriquée en 1898, que les fidèles venaient embrasser régulièrement. Ce dernier objet a été inscrit à l’Inventaire des Monuments historiques en 1986. Cependant, Yves-Pascal Castel mentionne qu’avant 1897, ces reliques attiraient bien moins la dévotion des fidèles que la cloche dite de saint Pol », ou Hir-Glaz » cf. rubrique Complément du culte ». cf. LE CULTE Statut du culte Autorisé Légendaire Saint Paul-Aurélien serait né à la fin du Ve siècle, dans une famille noble et chrétienne du Dyfed actuel Pays de Galles. Il suivit l’enseignement de saint Ildut dans son monastère, puis émigra vers l’Armorique avec douze compagnons. Après un passage sur l’île d’Ouessant, puis à Lampaul, il fut accueilli par Guithur, comte d’Occismor ancien nom de la ville de Saint-Pol, qui lui donna l’île de Batz. Le comte donna ensuite son palais à saint Pol, devenu évêque, qui en fit sa résidence épiscopale. Il démissionna de sa charge d’évêque au milieu du Ve siècle et mourut peu après. Ses reliques furent emportées à l’abbaye de Fleury-sur-Loire Loiret, où elles furent détruites en 1567 lors des Guerres de Religion. Sa Vita BHL 6585 fut écrite en 884 par un moine de l’abbaye de Landévennec nommé Wrmonoc. Au nom d’une tradition ancienne fondée sur quelques mentions médiévales non saint-politaines d’un pèlerinage des Sept Saints de Bretagne » ou circuitus Britanniae », l’ancienne cathédrale de Saint-Pol fut à la fin du XIXe siècle intégrée au pèlerinage du Tro Breiz, dont le concept fut ressuscité par l’abbé Luco en 1874 voir Le pèlerinage du Tro Breiz tour de Bretagne » en breton est consacré aux évêques fondateurs des sept évêchés les plus occidentaux de Bretagne excluant Rennes et Nantes. Ces Sept Saints » seraient venus du Pays de Galles aux Ve-VIe siècles pour fonder leurs évêchés respectifs Paul-Aurélien à Saint-Pol-de-Léon, Malo ou Maclou à Saint-Malo, Samson à Dol, Patern à Vannes, Corentin à Quimper, Tugdual à Tréguier et Brieuc à Saint-Brieuc. Selon les historiens promoteurs du Tro Breiz aux XIXe et XXe siècles, ce pèlerinage consistait en une boucle d’environ sept cents kilomètres reliant les sept évêchés, que les pèlerins mettaient un mois à parcourir dans le sens de leur choix et en partant de n’importe quel endroit, pourvu qu’ils y reviennent à l’arrivée. La pratique renaît, sous une forme collective et fractionnée en reliant deux cathédrales par an en 1994, impliquant des milliers de participants. Cependant, Jean-Christophe Cassard 1996 qualifia ce pèlerinage de mirage historiographique », affirmant que, malgré l’existence d’un culte voué aux Sept Saints » qui ne sont pas toujours les fondateurs des évêchés, la pratique d’une telle pérégrination ne concerna que quelques individus un peu marginaux ». André-Yves Bourgès 2016 nuance le propos en avançant qu’au XIIe siècle, les évêques de Dol, qui revendiquaient un statut métropolitain que la papauté leur dénia en 1199, auraient pu encourager un éphémère culte des Sept Saints de Bretagne » afin de justifier l’unité religieuse de la Bretagne face aux prétentions de l’archevêché de Tours. Miracles À deux reprises, saint Paul-Aurélien aurait fait reculer la mer pour y installer son monastère celui de saint Ildut au pays de Galles, puis à l’île de Batz. Encore novice, il fut chargé de surveiller un champ de blé de nuit, mais s’endormit. Des oiseaux vinrent alors manger la récolte. Saint Pol pria Dieu et les oiseaux se rendirent eux-mêmes devant l’abbé Ildut pour demander leur punition. Saint Pol fit encore apparaître une fontaine miraculeuse à Occismor, et chassa deux dragons sur l’île de Batz et au Faou. À sa mort, les paroissiens de l’île de Batz et d’Occismor Saint-Pol réclamèrent chacun sa dépouille. Cetomerimus, successeur de Pol, plaça deux chariots tirés par des bœufs tournés chacun vers une des deux destinations, et fit placer la dépouille de saint Pol à cheval sur les deux chariots. Quand les bœufs démarrèrent, la dépouille disparut. Elle réapparut dans le chariot qui allait à Occismor, quand celui-ci eut atteint la cité. Types de motivation Action de grâcePiétéVoeu Recours ThérapieFolie Compléments La cloche nommée Hir-Glaz » était censée guérir des maux de dents, de la surdité et des maléfices. Selon sa Vita, saint Pol aurait ressuscité un mort grâce à elle. Jours de fête 12 mars saint Pol Type de fréquentation Continu Compléments sur les fréquentations Selon l’historiographie traditionnelle, le Tro Breiz médiéval pouvait s’effectuer à quatre moments de l’année nommés temporaux » Pâques, Pentecôte, Saint-Michel 29 septembre et Noël. Le pèlerinage, durant environ un mois, commençait alors quinze jours avant l’une des fêtes en question et se terminait quinze jours après. Pendant toute la durée de ces temporaux, les fabriques des églises cathédrales étaient censées exposer les reliques de leur saint fondateur. Bien que l’abbé Luco 1874 ait parlé de foules considérables jetées sur tous les chemins » par ce pèlerinage, Jean-Christophe Cassard 1996 parle plutôt d’un phénomène marginal, qui, au XVIe siècle, avait presque disparu. L’abbé Luco extrapolait à partir des offrandes reçues par le tronc de l’église paroissiale Saint-Patern de Vannes en 1400, qui se montait à cent livres il considérait que si chaque pèlerin avait versé une obole, cela aurait fait trente à quarante mille pèlerins au cours d’une année. Cependant, rien ne prouve qu’il ne se soit pas agi d’un tronc lié à la dévotion locale pour saint Patern, non lié au Tro Breiz. Dans la version actuelle du Tro Breiz, proposée par l’Association des Chemins du Tro Breiz, une étape d’une semaine environ est parcourue chaque été, au tournant des mois de juillet et août. Selon les organisateurs, environ mille cinq cents personnes y participent, tandis qu’à peu près le même nombre de pèlerins le font indépendamment de l’association le reste de l’année. La deuxième boucle du Tro Breiz 2003-2009 eut la ville Saint-Pol pour point de départ et d’arrivée. Cette dernière fut également ville étape aux étés 1994-1995 et 2016-2017. Pratiques individuelles PrièresDonsVoeux Pratiques en présence du clergé ProcessionsImposition de reliquaireMesseOffice liturgiqueChantsPèlerinage Ex voto CireDes cierges sont présents dans le sanctuaire. Confréries Indulgences Inconnue 1334Fraîchement consacrée, la nouvelle cathédrale de Saint-Pol obtint une indulgence en 1334. Cependant, elle fut plus liée au financement des travaux de la cathédrale qu’au culte de saint Pol 1898Dans le cadre des festivités liées au renouveau du culte des reliques de saint Pol, le pape Léon XIII accorda une indulgence plénière au sanctuaire, qui pouvait être reçue le 12 mars et le premier dimanche de septembre. Compléments sur le culte Plus que vers les reliques de saint Paul-Aurélien, la dévotion des fidèles s’est longtemps tournée vers la cloche dite de saint Pol », ou Hir-Glaz » en breton. Actuellement conservée dans l’ancienne cathédrale, cette cloche de bronze mesure 19 cm de haut et est surmontée de ce qui semble être une tête de poisson cf. Elle présente encore les traces d’un plaquage en argent. Selon la Vita de saint Pol écrite en 884, cette cloche aurait été une première fois refusée au saint par le roi Marc. Alors que Pol se trouvait à la cour du comte Guithur sur l’île de Batz, on lui aurait servi une tête de poisson à manger contenant cette même cloche. Selon la tradition, saint Pol aurait ressuscité un mort grâce à cette cloche. Elle était censée guérir des maux de dents, de la surdité et des maléfices. Jusqu’au XIXe siècle, les fidèles l’embrassaient ou s’en coiffaient la tête. Pour mettre fin à ces pratiques jugées superstitieuses, le clergé de l’ancienne cathédrale fit plutôt sonner la cloche au-dessus de la tête des fidèles. Cette cloche a été classée Monument Historique au titre d’objet en 1898. Par peur d’un éventuel vol, elle fut remplacée par un fac-similé en 2005. Cinq autres sanctuaires bretons possèdent une cloche censée appartenir à l’origine à leurs fondateurs, comme la cloche de saint Ronan à Locronan Finistère. L'ÉDIFICE Description Les premières phases de construction de la cathédrale Saint-Pol ne sont pas connues. La cathédrale romane fut détruite par les Anglais en 1170. Le gros œuvre de la cathédrale actuelle a été construit entre le début du XIIIe siècle et 1334. Ses deux tours légèrement dissymétriques sont inspirées de la cathédrale de Coutances Manche. Le chevet de l’église fut de nouveau incendié par les Anglais en 1365, et ne fut reconstruit qu’un demi-siècle plus tard. L’aile sud reçut d’importantes modifications dans la seconde moitié du XVIe siècle. La cathédrale présente un plan à trois vaisseaux. Sa nef est longue de six travées et son transept est large de neuf travées du nord au sud. Le chœur, long de six travées, est doté d’un déambulatoire quadrangulaire présentant six chapelles, plus une chapelle d’axe. Le mur gouttereau sud de l’église est doté de trois chapelles et d’un porche. Une sacristie a également été rajoutée au nord-est du chœur. L’édifice a été classé Monument Historique en 1840, sur la première liste de Mérimée. Aménagements extérieurs liés au culte Aménagements intérieurs liés au culte HISTOIRE DU SANCTUAIRE Origines Date de première mention 884 Initiative de la fondation Evêque Environnement institutionnel, politique et religieux Phases d'évolution La Vita de Paul-Aurélien fut écrite en 884 par un moine de l’abbaye de Landévennec nommé Wrmonoc. Bien qu’un bras-reliquaire en argent lui ait été fabriqué en 1628, rien n’assure qu’il ait suscité un culte très dynamique au XVIIe siècle. En 1889, il était encore mentionné que ses reliques attiraient moins la dévotion des fidèles que sa célèbre cloche nommée Hir-Glaz ». Son culte fut fortement relancé à la toute fin du XIXe siècle, grâce à la reconstruction de son reliquaire 1897, à l’octroi d’une indulgence plénière 1898 et à l’érection de l’ancienne cathédrale en basilique 1901. Depuis 1994, l’ancienne cathédrale Saint-Pol se trouve incluse dans le parcours proposé par l’Association des Chemins du Tro Breiz. Cette première boucle, partie de Quimper à l’été 1994, a été clôturée dans cette même ville en 2000. La deuxième boucle du Tro Breiz 2003-2009 eut la ville Saint-Pol pour point de départ et d’arrivée. Cette dernière fut également ville étape aux étés 1994-1995 et 2016-2017. Toutefois, la dévotion à la figure-même de saint Paul Aurélien occupe une place limitée dans cette relance du pèlerinage, les Sept Saints de Bretagne » faisant l’objet d’une vénération commune. Evénements marquants Fondation VIe siècleL’évêché de Saint-Pol dont la cité s’appelait alors Occismor fut fondé au début du VIe siècle par saint Paul IXe siècleAprès la mort de saint Pol, ses reliques furent transférées à l’abbaye de hagiographique 884La Vita ancienne de Paul Aurélien BHL n°6585 fut écrite par le moine Wrmonoc, de l’abbaye de 1170La cathédrale romane de Saint-Pol fut incendiée par les Anglais en XIVe siècleLa reconstruction de la cathédrale Saint-Pol commença au début du XIIIe siècle. Elle fut consacrée en 1365La cathédrale de Saint-Pol fut incendiée une nouvelle fois par les Anglais dans le cadre de la Guerre de Cent de l'objet de dévotion 1793En 1793, le recteur de la cathédrale mit les reliques en sûreté dans des cassettes de fer blanc, accompagnées d’un procès-verbal de sa du pèlerinage 1874L’abbé Luco créa la relance du pèlerinage dit des Sept Saints de Bretagne » en publiant un article intitulé Pèlerinage du Tro-Breiz » dans le Bulletin de la Société Polymathique du Morbihan p. 27-32.Fabrication d'une châsse 1897En 1897, de nouveaux reliquaires furent fabriqués pour abriter les reliques de saint du sanctuaire en basilique mineure 1901La cathédrale Saint-Pol fut érigée en basilique mineure en du pèlerinage 1994Après l’échec de plusieurs tentatives de restauration du pèlerinage du Tro Breiz depuis la fin du XIXe siècle, Philippe Abjean et le père Dominique de Lafforest créèrent l’Association des Chemins du Tro Breiz en 1994. Cette entreprise connut alors un succès rapide. Cette première boucle », partie de Quimper à l’été 1994, a été clôturée dans cette même ville à l’été 2000. La deuxième boucle du Tro Breiz 2003-2009 eut la ville Saint-Pol pour point de départ et d’arrivée. Cette dernière fut également ville étape aux étés 1994-1995 et 2016-2017. Rayonnements Local ? -> 1994Avant la relance du Tro Breiz en 1994, saint Paul-Aurélien connut un culte à l’échelle locale, comme les six autres évêques fondateurs de Bretagne. Cependant, les quelques mentions du pèlerinage des Sept saints de Bretagne aux XIVe-XVe siècles laissent penser qu’il a pu avoir une audience plus large, peut-être 1994 -> 2022Les statistiques officielles de l’Association des Chemins du Tro Breiz font état d’environ 60% de Bretons et de 40% venus du reste de la France, parfois-même de l’étranger. Compléments Après l’échec de plusieurs tentatives de restauration du pèlerinage du Tro Breiz depuis la fin du XIXe siècle, Philippe Abjean et le père Dominique de Lafforest créèrent l’Association des Chemins du Tro Breiz en 1994. Cette entreprise connut alors un succès rapide. Cette première boucle », partie de Quimper à l’été 1994, a été clôturée dans cette même ville à l’été 2000. La deuxième boucle du Tro Breiz 2003-2009 eut la ville Saint-Pol pour point de départ et d’arrivée. Cette dernière fut également ville étape aux étés 1994-1995 et 2016-2017. RÉFÉRENCES Sources Site internetSite internetSite internetSite internetSite internetSite internetSite internetSite internetPresse Bibliographie LEROY, C., DE LA RIVIÈRE, D., Cathédrales et basiliques de Bretagne, Ereme, Y., Catholiques en Bretagne au XXe siècle, Rennes, PUR, G., La fête et le sacré. Pardons et pèlerinages en Bretagne aux XVIIe et XVIIIe siècles, Paris, Le Cerf, 1998, p. B., DANIEL, T., Sur les pas de Paul Aurélien [Actes coll. Saint-Pol-de-Léon, 7-8 juin 1991], Brest, Quimper, CRBC, Société Archéologique du Finistère, Le Tro Breiz médiéval un mirage historiographique ? », in G. MILIN et P. GALLIOU dir., Hauts lieux du sacré en Bretagne KREIZ 6, Etudes sur la Bretagne et les pays celtiques, Brest, CRBC, 1997, p. B., IRIEN, FALHUN, S., CASTEL, dir. et trad., Saint Paul Aurélien. Vie et culte / Sant Paol a Leon, Tréflévenez, éd. Minihi Levenez, C., Au sujet du Tro Breiz, Rennes, chez l'auteur 2e éd. augmentée, 1991, ROY, F., Tro-Breiz le pèlerinage des sept saints de Bretagne, Paris, Librairie celtique, LA MARTINIÈRE, J., Le Tro-Breiz à Vannes au XIVe siècle. Conflit entre le chapitre et les paroissiens de Saint-Patern », in Mémoires de la Société d'Histoire et d'Archéologie de Bretagne, 6 , 1925, p. A., Le culte des Sept Saints de Bretagne au Moyen Âge notes et documents », in Bulletin de la Société d'Emulation des Côtes du Nord, 49 , 1911, p. Les Sept Saints de Bretagne et leur pèlerinage », in Bulletin archéologique de l'Association Bretonne, Congrès de Rennes, 1897, p. A., Saint Pol-Aurélien et ses premiers successeurs, Quimper, abbé, Pèlerinage de Tro-Breiz », in Bulletin de la Société Polymathique du Morbihan, 1874, p. LE GRAND, Vie des saints de la Bretagne Armorique, éd. D. L. MIORCEC DE KERDANET, Anner et Fils Brest, Isidore Perron Paris, 1837. Etudes universitaires PROVOST, G., Le pèlerinage en Bretagne aux XVIIe-XVIIIe siècles, Thèse de doctorat, ss. dir de J. QUENIART, Rennes II, 1995. PHOTOGRAPHIES LIÉES Objet de dévotion Edifice Autre À PROPOS DE L'ENQUÊTE Enquêteur BOLARD / PROVOST Maxime / Georges Rédacteur BOLARD Maxime Date de l'enquête 1995/2018 Date de rédaction de la fiche 2018 Etat de l'enquête En cours Pour citer cette ficheBOLARD Maxime, Saint-Pol Tro Breiz », Inventaire des sanctuaires et lieux de pèlerinage chrétiens en Franceurl version du 29/01/2019, consulté le 19/08/2022
Extraitdu Bulletin de la Société Polymathique du Morbihan, 1888, pages 68-75. 5 Juillet 1694. - REVUE DANS LA LANDE DU PARGO. Rolles des gentilshommes sujets au Ban de l'Évêché de Vannes quy ont comparus en l'endroit de la Revue faite en la lande du Pargo par Monseigneur le marquis de Lavardin, chevallier des ordres du Roy, lieutenant général de ses armées et du
Vol 11 (Classic Reprint Societe Polymathique Du Morbihan Bulletin de La Societe Bulletin de la Société scientifique historique et BULLETIN . DE LA . SOCIETE SCIENTIFIQUE, HISTORIQUE . ET . ARCHÉOLOGIQUE . DE . LA CORRÈZE . SIÈGE A BRIVE. Reconnue d'utilité publique (Décret du 30 novembre 1888) Untitled Document [petits.ports.free.fr] In revue Annales de Nantes et du
. 450 325 473 481 175 143 182 72
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